Inscription: 20 Avr 2004, 21:40 Messages: 555 Localisation: Ranne, en Janrénie et Paris, sur la Terre.
|
Lionna a écrit: Je reprend mes notes car voyez vous je ne jette rien en grand malade que je suis.
Si j'ai écrit uen campagne en 4 actes minimum vous pensez bien ue j'ai lu, relu et encore lu les nouvelles... donc dans mes notes qui date de deux ans:
d'après les nouvelles:
Soeur mezdi, Lorgol, Sombreçonge, Laedyss, Estezia et tortage
PS: c'est vrai que deux villes des TV sont dans le lot, mais les Soeurs mezdi, c'est la cerise sur le gâteau pour le masque, car c'est en TV (le pays des arts et où résiderait les 4 génie fondateurs des arts libres)
Ensuite, je me suis dit que ces villes serait sympa:
Nordheim (parage), Nejma (lyphane), Tsalana (Communes P) Mortencre (janrénie), Jorline (janrénie) Abyme
Si on compte, ça fait douze. alors voilà aussi le topo, ce n'est pas le masque qui les choisit, mais bien maspalio... et j'avais remarqué que dans les 6 de base, c'est pas que des capitale alors voilà mes choix!!
Suis d'accord pour ne pas coller une capitale à chaque fois.
Pour la Janrénie, j'aurais plutôt tendance à proposer Fraag, mais bon. Ce n'est pas une ville officielle, mais tirée de mon "guide janrénien" (que, foutre-vert,, il va falloir que je me décide à mettre en ligne un jour ou l'autre), donc je sais pas si ça compte, mais voilà pourquoi :
FRAAG
Précieuse et unique dans le royaume, la somptueuse Fraag fait plus figure de petite cité flamboyante que de simple bourgade Janrénienne. Bâtie au bord d’une petite falaise dominant le comté de Saramence, elle surplombe la source souterraine du fleuve Elansine, qui jaillit d’une faille de deux kilomètres de long, ouverte dans la paroi et entièrement sculptée en forme de bouche béante. Un vieux Géant squelettique, surnommé « Mange-brume » s’est installé à l’intérieur de la caverne d’où s’écoule la cascade. Il racontera à qui l’écoute que c’est le coup de hache d’un Wogom assoifé, qui ouvrit une faille dans la falaise pour libérer la rivière souterraine Maléon (cf. Mortencre ) et le désaltérer. C’est ainsi que le fleuve Elansine aurait vu le jour. L’Estivain, devenu sourd depuis belle lurette à force de côtoyer le grondement des chutes d’eau, est chargé de surveiller l’êtat de la voûte sculptée d’arabesques qui soutient Fraag au-dessus. Les rues de la petite citée, baignée dans le ronronnement permanent de la cascade, sont toutes dotées d’un réseau d’arcades, permettant de s’abriter de la bruine qui provient de la chute et de réduire par d’astucieuses trouvailles architecturales la rumeur des eaux. Un constant arc-en-ciel auréole les toits pointus, or et argent, qui descendent parfois jusqu’au sol et qui accueillent souvent des statues alanguies ou des gargouilles, dont certaines composent le toit lui-même. Les murs sont d’une pierre rouge ou ocre, taillée en meulière, ouverts sur des balcons arrondis à toiture, soutenus par des colonnes d’une finesse incroyable et surplombant les arcades de la rue. Malgré ces détails délicats, Fraag reste une ville tassée, presque pelotonnée sur elle-même, lové dans une muraille en demis-cercle au bord de la falaise. Au centre, la « place des larmes » est une merveille d’exemple d’architecture élémentaire et confirme la marque du talent des architectes flamboyants qui influence l’intégralité de l’aspect de la petite citée. Quarante piliers sur lesquels est appuyée une voute invisible d’élémentas d’air, protège la place circulaire de la bruine et donne l’illusion que des millions de gouttelettes restent suspendues dans le vide pour former une formidable bulle brumeuse. Les effets des rayons du soleil à travers y sont une attraction quotidienne pour les visiteurs. L’impasse du verseau est également connue dans tous le canton pour sa fontaine de pétales : la surprenante sculpture d’une satyre femelle renversant une cruche dans un bassin aux allures de nénuphare, déversait indéfiniment une pluie de pétales remplissant le bac sans pourtant jamais le faire déborder. Mais depuis l’Eclipse, ce sont des feuilles mortes que déverse le verseau de l’impasse… Fraag n’étonne donc pas tant par sa superficie que par sa beauté héritée des âges flamboyants et son aspect exceptionnel dans le paysage Janrénien. Portes ouvragées, encadrements de fenêtres, rues pavées d’une mystérieuse pierre bleu marine, marbrée de jaune, colonnes, escaliers et balcons défiant les lois de la gravité, rempares ciselées comme une dentelle et pourtant d’une résistance à toute épreuve, atmosphère brumeuse saturée de gouttelettes, Fraag revêt aujourd’hui à bien des égards l’allure d’une cité-musé et à hérité du surnom de « petite Abyme » uniquement par son aspect singulier. A ce titre, la ville est perpétuellement entretenue et rénovée. De grands travaux d’entretient de l’allée des statuaires aquatiques se déroulent aujourd’hui dans le parc des huits grottes, interdit au publique. On y trouve une flore sèche et orangée, la Volatine, unique en Harmonde, qui serait un composant indispensable à la préparation de filtres qui permettraient d’acquérir une légèreté allant du chat à la feuille morte, selon les doses. Les buissons de Volatine, devenus symboles de la ville, restent néanmoins rares et sont sous haute surveillance des autorités locales. La population essentiellement bourgeoise et aisée profite pleinement d’un certain tourisme (fait rare sur l'Harmonde) et les habitations se lèguent de générations en générations au sein des mêmes familles. Ainsi, la plupart des habitants se connaissent depuis l’enfance et chacun peut trouver dans son arbre généalogique un cousin habitant dans le quartier voisin. Une autre des ressources de Fraag est le cabotage pratiqué sur le fleuve Elansine, notamment en matière de transport de matériaux vers le nord du pays. La petite cité reçoit en effet régulièrement les caravanes transportant le fruit des mines de Vulkum ainsi que des nombreuses petites communautés minières exploitant les monts Drakoniens. C’est ainsi que se sont développées au pied de la falaise, des guildes de caboteurs ayant chacune à sa tête une des grandes familles de Fraag. Les matières premières et les passagers sont transportés par gabare (cf. Souffre-jour n°2 p.30), sorte de péniches grées à un ou deux mâts jusqu’au pont de Caospe, où un comptoire de la malle-poste Janrénienne permet de rejoindre Ranne ou Jorline. Le maire en place est Mathilde Blondemine aux longs cheveux miel, une femme à la beauté trouble et brûlante. Elle fut nommé il y a quelques années après être parvenue à chasser à elle seule un essaim de Pixies ayant empoisonné les récoltes pour forcer les habitants à livrer les buissons de Volatine. Le maire de l’époque ainsi que de nombreux Fraagéens périrent des suites des intoxications alimentaires. Célébrée en Héroïne par la population et appuyée par son amie et maire de Farange, Léonce Avalène (cf. Farange), la Loge n’hésita pas à lui confier les rennes de Fraag en remerciement pour sa dévotion. Elle s’occupe aujourd’hui des affaires de la ville avec une efficacité et un acharnement qui lui valurent la reconnaissance et la coopération immédiate de la population de Fraag. Mais certaines rumeures lancées par les anciens, prétendent que sa beauté n’aurait pas prie une ride à travers les années : la jeune femme rayonne en effet encore aujourd’hui comme à l’aube de ses vingt ans. Certains voient là le résultat d’une formule alchimique de la pommade de Sersine tenant plus longtemps (cf. Sersine), d’autres l’œuvre de la magie cryptogrammique, d’autres un commerce avec les Abysses et d’autres encore, ne s’en soucient guères, se contentant d’un sourire éloquent quand on évoque le maire, que beaucoup surnomment « la perle de Fraag ». Sous le nom emprunté de Mathilde Blondemine, se cache en fait la Morgane Corolle. A l’instare de Murmure (cf. Le violon de l’automne p.116) ou de Brume (cf. Souffre jour n°2 p.19), Corolle existe depuis des millénaires et compte probablement parmi les Morganes qui naquirent du reflet de la Dame. A la fin de la guerre des saisons, elle quitta l’Harmonde avec une grande partie de son peuple pour rejoindre l’île de l’automne et y vivre plusieurs siècles. Ce fut là que son cœur fondit à la lueur de la flamme du conteur Faber, lors de la guerre Pastel (cf. Le violon de l’automne p.88 ). Faber figurait parmis les inspirés qui mirent un terme au conflit entre les habitants de l’île (cf. Les violons de l’automne p.88 et 97). Balladin et harmoniste de la Geste, il fut tout de suite séduit par l’esprit vif et la beauté exeptionnelle de Corolle. La chaleur et la lumière de son amour, démultipliées par celle de sa flamme, furent tels qu’elles suffirent pour une fois à venir à bout du cœur de glace de la Morgane. C’est ainsi que Corolle retrouva avec stupéfaction, l’existence de son cœur originel. Comme ses compagnons, Faber disposait du droit et du pouvoir de distribuer les flammes. Il intronisa la saisonnine avec succès, découvrant ainsi le moyen d’inspirer les Morganes amoureuses et faisant de Corolle la première –et pendant longtemps, la seule- de son décan à porter une flamme. Leur idylle traversa les années sans ombrages sur les plages mélancoliques d’Eauleibne avant la tragédie, jusqu’à ce que les contes racontés par Faber et l’eau de mélancolie (cf. Le violon de l’automne p.98 et 100), fassent venir à Corolle la nostalgie de l’Harmonde. Fascinée par les réçits du conteur et désireuse de revoir cette terre qui semblait avoir tellement changée depuis la guerre des décans, la Morgane poussa son amant à rejoindre le mouvement des Croiseliers (cf. Le violon de l’automne p.89 et 96). Ainsi le couple tenta et réussit la traversée vers le continent par un moyen que la Morgane ne révèla jamais, fidèle à la préservation de l’île de l’automne : le mausolée des Muses (cf. Le violon de l’automne p.99 et 100). Le couple entreprit ensuite de travailler ensemble et de cacher l’existence de Corolle au conseil, alors loin de pouvoir accepter l’idée d’automnins inspirés. Quand, peu après leur départ de l’île, Faber appris auprès des Sigiles le suicide de la dame de l’Automne (cf. Le violon de l’automne p.139) et qu’il le révéla à sa bien aimée, celle-ci, déjà profondément marquée par la découverte du mausolée en resta profondément bouleversée. Elle, l’exception, celle qui avait trouvé celui qui avait pu maintenir son cœur hors de la glace, se sentait particulièrement proche du sentiment qui avait pu étreindre sa Dame lors de son idylle avec le Semblant. Comment celui qui avait rendu heureuse celle qui ne pouvait l’être, avait-il pu la trahir de la sorte ? Le Masque était un monstre, un tueur de saison. Le caractère de la Morgane s’en trouva profondément affecté et sa mélancolie naturelle se mua en rage contre le maître du semblant. Une volonté profonde de lutter à contre-courant, de se battre aveuglément contre l’évidence de la victoire du Masque -non pas pour parvenir à le vaincre, mais pour ainsi concerver l’espoir des instants qui précèdent le dernier- naquit en elle. Corolle aida alors Faber à approcher ses semblables aux moments opportuns pour les introniser. Comptant parmi les premières à avoir quitté l’Harmonde après la guerre des décans, Corolle ne retourna jamais en Albandisse pour connaître l’avènement de Vitrance. La morgane ne figure donc tout simplement pas dans les listes de celles à chasser et sa discrétion exemplaire à travers les âges lui a permis de garder secrète son identité automnine aux yeux des Haruspices. Restée éternellement fidèle à l’amour de Faber grâce à sa flamme, aucun sillage d’amants désespérés n’attira l’attention sur elle au cour du temps. La morgane devint au fil du temps une donneuse de Flamme à son tour, et subtilisa de nombreuses actrices au Masque. Actrices desquelles Faber apprenait beaucoup de renseignements pour le conseil des Décans. La plus pars des connaissances actuelles sur le rôle des Morganes au sein des troupes du Vagabond, viennent d’ailleurs de cette époque (cf. Livre de base p.281). Mais le maître du Semblant ne l’entendait pas de cette oreille et arracha Faber aux bras de Corolle. Des années durant, la Morgane rechercha son amour pour le retrouver en Janrénie, damné et corrompu. Le Masque en avait fait son pion. Corolle dut le tuer pour sauver sa vie. Et sa haine pour le vagabond n’en fut que renforcée. La Morgane se lança alors dans la quête du seul être qui saurait venger la perte de son amour et le suicide de sa Dame, le seule encore en mesure de défaire le Vagabond, son ennemis de jadis : l’Invisible Couronne, roi de l’automne. Des années passèrent avant que la Voix dans les Saules ne rencontre Corolle et lui révèle que l’esprit de son roi errait encore sur l’Harmonde à la recherche de son corps. La Morgane proposa son aide aussitôt et fonda en Janrénie, peu après la révolte des femmes, un culte secret nommé « l’invisible sentence » (cf. Le violons de l’automne p.109) voué à fouiller le pays à la recherche du tombeau perdu d’Armitance Granrole, générale humain des Ailes didascaliques de Modée lors de la guerre des décans et dernière forme empruntée par l’invisible couronne. Ces recherches ont amené aujourd’hui l’invisible sentence à supposer que le tombeau se trouverait sous Fraag. C’est pour cela que l’automnine intrigua pour en devenir le maire en poussant des Pixie à déclencher une épidémie pour les repousser ensuite. Elle effectue aujourd’hui sous le couvert de travaux, des fouilles qui sont sur le point de porter leur fruit. Corolle ignore encore que ses suppositions sont justes et que le Masque cherche également depuis longtemps l’âme et l’esprit de l’invisible couronne, ainsi que l’emplacement de son tombeau. Dans son nouveau plan de retrouver et corrompre les rois endormis des saisons (cf. Le monarque des jonquilles et Mélif), le roi de l’automne est un épineux problème pour le Vagabond, car sont esprit est toujours actifs et indépendants quelque pars sur l’Harmonde. Ce monarque n’est-il pas celui qui aurait été capable de lui damer ses pions humains sans l’intervention de Janus ? Et le Masque n’est-il pas celui qui en fit autant avec les enfants de l’automne ? Le retour de l’invisible couronne, assoiffé de se venger de celui qui lui vola sa Dame et ses enfants, de celui qui se ria de lui lors de sa trahison durant la guerre des décans, donnerait au Masque un adversaire à sa mesure dont il compte bien se passer. C’est pourquoi il garde sous observation les groupuscules voués aux cultes de l’automne à travers tous les royaumes, en attendant patiemment que ceux-ci lui indique l’emplacement de son ancien rival. Mais il rage des difficultés qu’il a pu rencontrer dans l’espionnage du groupe de l’invisible sentence, ignorant jusqu’à l’identité de celle qui le dirige, une Morgane rompue depuis des siècles à ses méthodes... Une de ses marionnettes infiltrée parmi les gueules fendues (cf. Ub) a cependant rapporté l’existence de Léonce en tant qu’inspirée récemment intégrée au culte de l’invisible sentence. Depuis, le maire n’aurait-eu de cesse de faire des recherches sur l’invisible couronne et de nombreux rapports à une mystérieuse destinataire, une autre maire inspirée. Une de ces lettres interceptée par les gueules fendues aurait révélé que le groupe serait sur le point de célébrer le retour du roi de l’automne. C’est pourquoi le maître du Semblant compte bien, par le biès de Noélise Amnémis (cf. Grisombre), repérer les maires en question et remonter jusqu’à celle derrière laquelle se cache le fondamteur du culte Janrénien. Il s’appuie également pour cela sur les plans du drakonnien Seltiass (cf. Ninon) auprès duquel il a missionné Pavoise, pour veiller à l’informer s’il découvrait quelque chose à son insut. Selon les circonstances, il tuera Corolle pour la remplacer par un des drakonniens formés par Seltiass, pour tendre un piège à la Voix dans les Saules et retrouver l’âme et l’esprit de l’invisible couronne. Ou bien au contraire, il laissera à la Morgane tout le loisir de pratiquer le rituel pour le retour du roi de l’automne et pour ainsi le détruire aussitôt sous tous ses aspects à la fois. Corolle ne se doute ni des plans du Masque, ni des réelles intentions du roi de l’automne et pense qu’il s’agirait là d’un précieux allié pour l’inspiration, ainsi que d’un bon moyen pour vanter les mérites de sa saison auprès du Conseil des Décans. Car ce n’est qu’avec l’arrivée de Kaolin Skaledur au poste de Sigile nain, que la Morgane fut officiellement reconnue comme une combattante de l’inspiration. Elle agit aujourd’hui sous la tutelle de Squalmis (cf. La sentence de l’aube) qui a récemment introduit l’idée d’en faire la première sigile Morgane, la mettant en lice avec Sophonyse (cf. Dramatis personnae p.62 à 65). Corolle partage maintenant avec elle les identitées de toutes les Morganes inspirées de l’Harmonde et organise également leurs rares intronisations à l’échelle de tous les Royaumes. Elle compte suivre la voix tracée par Squalmis et démonter aux sigiles que l’automne n’est pas la saison que l’on croit. Devenue aujourd’hui maire Fraag, elle n’a révélé sa nature d’inspirée automnine qu’à Léonce Avalène (cf. Farange), qui s’est bien gardée pour l’instant de le répéter. Léonce soutient les projets de Corolle en tout point et a établis une profonde amitié avec la Morgane bien avant sa nomination en tant que maire. C’est grâce à celle-ci que l’invisible sentence put accéder aux archives royales de Ranne et retrouver la trace de la légende du tombeau. Mais c’est également par son biès que le Masque posa les yeux sur la Janrénie. S’il est une dernière chose qu’il faut dire sur Fraag-la-voilée, c’est à propos de la légende du rôdeur. Chaque soir du moi d’automne, il est possible croiser dans les rues de la petite cité, une créature bienveillante de brumes et de fumées. Interrogée, elle se présente comme étant Faber le conteur et se fait un plaisir de raconter l’Harmonde des temps anciens, se gardant néanmoins de mentionner le nom du maire et de Corolle, pour ne pas compromettre la couverture de son unique amour. Les habitants qui ont apris à vivre avec sa présence le prennent pour l’âme de l’architecte Flamboyant qui fut à l’Origine de Fraag et racontent que le mois d’automne qui ne verrait pas l’apparition du rôdeur, marquerait le débût de la décadence de la cité de bruine. D’autres se fondant sur sa présence répétée autour de la mairie, racontent en riant qu’il s’agirait de l’unique amour de l’inateignable Mathilde Blondemine, que nul homme ne parvint jamais a séduire. Faber laisse volontiers courir ces bruits. Au fur et à mesure des saisons, les apparitions de cet être de brume se font de plus en plus rares, jusqu’à disparaître complétement en été et ne reprendre qu’en automne. Car s’il ne s’agit pas là réellement de Faber, mais du résultat d’un sort de Corolle : « Le grand Charme » (Cf . Les automnins p.134). La Morgane ne peut en effet vivre sans la présence du souvenir de son amour, qu’elle appelle à elle à chaque début d’automne et dont elle se sert pour introduire dans la population une vision plus positive de la saison, que celle que les humains ont coutume d’avoir.
Voilà.
Le Masque aurait tout intéret à "récupérer" cette ville pour avoir le contrôle sur son ancien énnemis, le roi de l'automne et faire rentrer Corolle dans le "droit chemin".
Si elle vous plait, elle est à vous (la ville, pas Corolle, tas de satyres...).
P.S ; D'ailleurs ça vous servirait pas pour la campagne sur l'automne, ça ?
_________________ Alraune
(satyre lunaire)
"Puisse l'éclat de votre flamme ne pas vous aveugler"
|
|